Parce qu’il n’y a pas que le cinéma dans la vie – ni sur ce site, d’ailleurs – aujourd’hui on parle théâtre, femmes et fringues dans la Rubrique-à-Brac :

Critique par Scaramouche de L’amour, la mort, les fringues, pièce de Nora & Delia Ephron, adaptée et mise en scène par Danièle Thompson, actuellement au théâtre Marigny (Paris, 8ème)…

Sacramouche, la mort, les fringues

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Rédacteur en chef de Angle[s] de vue, Boustoune est un cinéphile passionné qui fréquente assidument les salles obscures et les festivals depuis plus de vingt ans (rhôô, le vieux...) Il aime tous les genres cinématographiques, mais il a un faible pour le cinéma alternatif, riche et complexe. Autant dire que les oeuvres de David Lynch ou de Peter Greenaway le mettent littéralement en transe, ce qui le fait passer pour un doux dingue vaguement masochiste auprès des gens dit « normaux »… Ah, et il possède aussi un humour assez particulier, ironique et porté sur, aux choix, le calembour foireux ou le bon mot de génie…

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